Dans un contexte où la protection de l'environnement est une priorité, le vieillissement des infrastructures en béton pose un enjeu majeur. La corrosion des aciers dans le béton est l’un des principaux responsables de cette dégradation, fragilisant les structures et mettant en péril la sécurité des usagers.
L’effondrement du pont Carola à Dresde en septembre 2024, après celui du pont Morandi à Gênes en 2018, rappelle cruellement que ces ouvrages ne sont pas éternels. Face à cette réalité, la démolition et la reconstruction ne sont pas des solutions viables : leur coût est considérable et leur impact environnemental désastreux.
🌱 Pourquoi préserver plutôt que reconstruire ?
La reconstruction d’un ouvrage génère une empreinte écologique lourde, notamment par :
Une production massive de déchets : L’effondrement du pont Morandi a nécessité l’évacuation de près de 4 500 tonnes de béton et d’acier.
L’empreinte carbone du ciment : Responsable de 7 % des émissions mondiales de CO2, soit plus que le transport aérien mondial.
La consommation excessive de sable : Ressource en raréfaction, dont l’extraction participe à l'érosion des côtes et au gaspillage d’eau.
Les nouvelles réglementations environnementales : Le programme "Zéro artificialisation nette des sols" impose de limiter drastiquement les projets de construction.
En réponse à ces enjeux, la protection cathodique des infrastructures s’impose comme la solution la plus efficace pour prolonger la vie des infrastructures en béton existantes et limiter leur impact écologique.
✨ Comment la protection cathodique contribue-t-elle à la réduction de l’empreinte carbone ?
Saviez-vous que le béton armé capte naturellement une partie du CO2 atmosphérique ? En moyenne, 10 kg de CO2 sont absorbés par mètre cube de béton au cours de sa vie, réduisant ainsi l’impact de ses émissions de production.
Cependant, ce phénomène entraîne une diminution de l’alcalinité du béton, favorisant la corrosion des armatures en acier. La protection cathodique joue ici un double rôle :
Stopper la corrosion active et prolonger la durée de vie des structures.
Réalkaliniser le béton, permettant ainsi de maintenir son rôle de captation du CO2 sans compromettre sa durabilité.
✨ Une solution écologique et peu énergivore
Contrairement à d’autres méthodes de réhabilitation du béton, la protection cathodique présente un faible impact environnemental :
Consommation électrique minimale : 1 W pour 10 m² de surface protégée, soit moins qu’un réfrigérateur domestique.
Possibilité d’alimentation solaire pour une solution encore plus durable.
Prolongement de la durée de vie des ouvrages jusqu'à 50 ans, réduisant ainsi la nécessité de reconstruire.
🚀 BlueSpine : une technologie durable et responsable pour prolonger la vie des infrastructures en béton
Chez BlueSpine, nous nous engageons à réduire l’impact environnemental de nos solutions :
Optimisation des matériaux : Réduction des câblages pour minimiser l’empreinte carbone.
Technologie "plug and play" : Mise en œuvre rapide, limitant les émissions liées aux travaux.
Fabrication locale : Composants exclusivement sourcés en Europe et production réalisée en France, dans notre atelier à Reims.
Pourquoi choisir la protection cathodique pour vos infrastructures ?
La protection cathodique n’est pas seulement une solution efficace contre la corrosion, elle est aussi un levier essentiel pour réduire l’empreinte environnementale des infrastructures en béton.
Dans un monde où la durabilité des infrastructures est une nécessité, il est temps de repenser la manière dont nous assurons leur maintenance. Chez BlueSpine, nous vous accompagnons avec des solutions innovantes et responsables.
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Contactez-nous dès maintenant pour découvrir comment nous pouvons prolonger la vie de vos infrastructures tout en réduisant leur impact environnemental.
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